Pour Nous ne reverrons jamais l’été, le cap des 60000 mots approche à petits pas, mais il approche quand même. (Et c’est bien là le principal.) Cette semaine, j’ai pu reprendre le chemin vers l’Arluuvie. (Cette région que mes personnages vont tenter de retrouver dans la troisième et dernière partie du roman – c’est-à-dire pas tout de suite – parce que, oui, elle a disparu. Du jour au lendemain, elle n’existait plus ; ni dans le vrai monde tangible ni sur les cartes.)
La deuxième partie (celle que je suis en train d’écrire, donc) a commencé il y a déjà quelques mots, mais là, maintenant, c’est le moment où læ lecteur·rice va commencer à en savoir un peu plus sur le rêve récurrent de Stephen, sur les projets de Martha Pinkerton, sur les évènements qui viennent de se dérouler dans la capitale…) Le processus prend un certain temps. Les informations qui arrivent seront décisives pour la suite, et je ne veux pas me louper. (Évidemment que non !) Je sais où vont mes personnages, maintenant, il me faut transmettre aux lecteur·rice·s les éléments qui leur permettront de comprendre où va l’histoire. (Si possible, pas dans le mur.)
J’en profite pour rappeler que vous pouvez lire Nous ne reverrons jamais l’été sur Plume d’Argent. Il y est en pré-publication (il n’y restera donc pas pour toujours), et c’est entièrement gratuit. Pensez à me laisser un commentaire de temps en temps afin que j’améliore le manuscrit. Merci à celleux qui l’ont déjà fait et d’avance à celleux qui le feront !