Aujourd’hui, je ne vais pas vous parler d’écriture d’un roman, mais d’un livre de non fiction. Il y sera forcément question (un peu) d’écriture d’un roman, puisque je n’ai pas pu m’empêcher d’établir un parallèle. (Qui n’a pas duré, néanmoins, et c’est normal.)
Mais de quoi ce livre peut-il bien parler ? Pour les curieux·ses, c’est ici que ça se passe !
Le livre de non fiction
Le bouclage, très récent, de mon guide anti procrastination m’a donné envie de vous raconter comment on en arrive à un livre de non fiction, comment on le prépare, comment on puise dans sa propre expérience, sans pour autant écarter les autres, qui sont aussi concerné·e·s.
On ne s’appuie pas sur ce que pensent des personnes fictionnelles
Avec un livre de non fiction, on parle bien de personnes réelles qui ont des besoins et des attentes réelles. Ces personnes n’ont pas forcément les mêmes besoins ni attentes que moi ; il faut ajuster le propos, l’adapter à ce dont elles pourraient avoir besoin (après avoir identifié ce ou ces besoins), identifier ce qu’elles pourraient attendre d’un guide anti procrastination.
La façon de s’exprimer diffère de celle d’un roman
On n’est pas là pour faire du style, mais (espérer) apporter des réponses. Les phrases doivent être simples, compréhensibles et assimilables rapidement.
Quand on écrit un tel livre, on n’hésite pas à prendre exemple sur soi (mais pas trop) pour apporter des éléments de réponses concrets. (Et on rappelle que ce qui fonctionne sur soi ne fonctionne pas forcément pour tout le monde.) Surtout, on permet aux lecteur·rice·s de se forger leur propre opinion par rapport à leur cas, et on n’oublie pas qu’iels se connaissent mieux que nous, nous les connaissons.
Partager ses compétences pour convaincre que son livre de non fiction est utile
Écrire un livre de non fiction, c’est partager ses compétences, non pas de narrateur·rice, mais pour convaincre que, malgré tout, son livre de non fiction est utile.
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