J’ai remarqué, parmi la foule de conseils que l’on peut trouver pour écrire un roman, pour écrire un roman efficace, que revient souvent le fameux « Pas trop de descriptions ». C’est-à-dire de trouver le juste milieu dans des descriptions capables de présenter l’environnement et les protagonistes/antagonistes qui y évoluent, de façon plus ou moins large. (Contexte global, contexte immédiat, contexte de groupe, contexte au cas par cas…) C’est-à-dire (bis repetita) de décrire juste ce qu’il faut, en allant droit au but. Sauf que ce conseil (très judicieux au demeurant) pose un problème : comme avec les adverbes, on a peur de trop en mettre, alors, le texte perd en nuances, voire en clarté. Et quand il n’y en vraiment a pas assez, ça sonne tout creux.
Dans cet article, je ne vous ferai pas une leçon pour décrire sans trop décrire parce que je fais partie des auteur·rice·s qui affectionnent les détails. Je serais donc bien mal placée de vous parler d’une façon d’écrire que je ne pratique pas. En revanche, j’aborderai une façon de décrire efficacement. Je vous donnerai des astuces pour décrire judicieusement, pour repérer une description (totale ou partielle) qui participe au texte et une description (toujours totale ou partielle) qui l’alourdit.
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