Si j’avais effectivement prévu de vous parler de désacraliser l’écriture, aujourd’hui, ce n’était pas sous cette forme. J’avais un beau texte tout prêt, et puis est arrivé ce qui est arrivé.
À l’heure où je publie cet article, je suis en vacances.
Ce n’était absolument pas prévu. Mais je suis épuisée.
Épuisée de ne pas réussir à écrire parce que le corps ne suit plus depuis deux semaines ; de ne pas réussir à accomplir de petites tâches parce qu’elles me paraissent insurmontables ; de ne pas réussir à programmer le plan promotionnel du Tisseur d’ombres, mon roman de fantasy à paraître en septembre 2022.
Fin juin, je prenais rendez-vous chez ma médecin pour en discuter avec elle. (Elle est toujours à l’écoute, c’est super !) Ma première étape sera de dormir à nouveau normalement la nuit. Après quoi, je parviendrai à lâcher un peu le travail parce que je suis quelqu’un qui bosse quand elle n’arrive pas à dormir. (Évidemment, je garderai un œil sur vos commandes sur la librairie en ligne afin de les valider.)
Pendant ces deux semaines, je m’emploie donc à désacraliser l’écriture, que j’ai décidément placée sur une sorte de piédestal ces derniers mois. J’aime toujours autant écrire, mais l’écriture du Vieux Veilleur qui n’avançait pas m’a complètement bloquée parce que je vous l’avais promis, cette nouvelle. Et bon sang, je voulais l’écrire ! Mais ça ne veut pas. Elle sortira un jour. D’ici là, je reprendrai mes projets après cette pause bien méritée.
Le Tisseur d’ombres est mon absolue priorité. Je lance les précommandes le 11 août, et puisque j’en parle, autant aller au bout. Si vous êtes donc lecteur ou lectrice et que chroniquer ce roman de fantasy vous intéresse, je vous donne rendez-vous ce jeudi sur mon Instagram pour en découvrir le résumé.