En octobre, je vous partageais mon deuxième point sur l’écriture de Nous ne reverrons jamais l’été, mon roman de fantasy steampunk. J’en étais alors à 40000 mots sur un nouvel objectif de 150000 mots au lieu des 80000 de départ. Si je n’ai pas fait de pas de géant depuis début octobre, j’en suis néanmoins à un peu plus du tiers : presque 60000 mots. Encore une fois, le contexte géopolitique me ralentit pas mal parce que je suis nulle dans ce domaine et, évidemment, je veux un rendu plus vrai que nature. (Parler de ce qu’on connaît, tout ça, tout ça, alors, je me soigne.)
Je continue à gérer les premières corrections en parallèle de l’écriture afin de poster les chapitres sur Plume d’Argent. Pour l’instant, nous en sommes au chapitre 12. (Pour quinze chapitres écrits et le seizième presque terminé.) Mes personnages s’apprêtent à quitter Ervicje (la capitale), là où ils amorçaient à peine leur voyage dans le deuxième point, publié début octobre.
De nouveaux personnages ont fait leur apparition de façon tout à fait hasardeuse. Si j’envisageais de les supprimer parce qu’ils servaient surtout de support à l’arc narratif d’un autre personnage (et pour m’épargner des « Il » et « Elle » à gogo), j’ai choisi de les garder après avoir trouvé de quoi les rendre intéressants par rapport au contexte.