Aujourd’hui commencent les choses sérieuses, puisque je vais t’aider à déculpabiliser l’écriture en trois étapes. Aussi parce que, dès la semaine prochaine, on va se concentrer vraiment sur l’écriture, sur l’acte d’écrire, maintenant qu’on a vu (ou revu) les bases du bien-être dans cette activité.
Le programme Deviens ton propre coach ! est un programme d’auto-coaching. Parce que tu es la personne qui te connaît le mieux, je te propose, chaque mois, un thème sur lequel je reviens un peu chaque semaine, accompagnée de ressources inédites et exclusives : articles, fiches, podcast… Tu trouveras, au bas de cet article, l’exercice de la semaine. À toi de choisir si tu me le rends ou non.
Soi-même vs. les autres
Tu l’auras sûrement compris, cette semaine marque le dernier échelon avant le passage à l’acte. Après la théorie, la pratique, et tu vas pouvoir mettre en application tout ce que nous avons vu les semaines précédentes. Néanmoins, avant de nous engager dans cette voie, je tenais à te confier mes trois étapes pour déculpabiliser l’écriture.
La première consiste à ne pas se mettre au même niveau que les autres. Oui, c’est mon sempiternel « On ne se compare pas aux autres », mais il est toujours bon de le rappeler.
Je rappelle que la comparaison aux autres n’est pas forcément une mauvaise chose. Elle ne doit juste pas devenir une habitude. Puise en la créativité et en les créations des autres pour te motiver, mais ne te contrains jamais à atteindre leur « niveau ».
Les conseils d’écriture
Il est vite compliqué de ne pas se comparer aux autres quand on essaie d’appliquer leurs conseils. Et ces conseils ne sont parfois pas de trop ! Seulement, il convient de bien se connaître et de bien connaître son rapport à l’écriture avant de s’y résoudre. (On ne les applique donc pas aveuglément.)
Les conseils des autres est ma deuxième étape. Plus exactement l’idée de ne pas s’y conformer à tout prix, de ne pas essayer de rentrer dans un moule. Certains conseils fonctionneront, d’autres non, et c’est bien normal. Déculpabiliser l’écriture passe par admettre qu’il n’y a pas de généralités en écriture. Surtout, il n’existe pas d’auteur ni d’autrice à suivre à tout prix, à ériger au-dessus de toi-même parce qu’iel dispense nombre de conseils.
L’auteur·rice n’est pas une entité sacrée
Autrement dit, l’auteur·rice n’est pas une entité sacrée, et ceci dans deux sens :
- celui que nous avons vu juste au-dessus : il n’existe pas d’auteur ni d’autrice à ériger au-dessus de toi-même parce qu’iel dispense nombre de conseils
- le statut d’auteur ou d’autrice n’est pas inatteignable : si tu écris une œuvre de fiction, tu es auteur·rice.
Cette semaine, dans ta boîte à outils
Cette semaine, pour déculpabiliser l’écriture, je t’invite à t’installer pour écrire, sans risquer d’être dérangé·e, et de te mettre simplement au travail dans tes conditions habituelles.
- Y parviens-tu du premier coup ? Si non, pourquoi ?
- Quelles pensées te traversent l’esprit au lieu d’écrire ?
- Comment peux-tu analyser ces pensées ? Que disent-elles de toi et de ton rapport à l’écriture ?
Tu peux, bien sûr, m’envoyer tes réponses, je me ferai un plaisir de t’aider à déculpabiliser l’écriture. Pense aussi à récupérer ta fiche mensuelle pour travailler sur tes objectifs, tes besoins et tes limites.
Déculpabiliser l’écriture par la pratique
J’ai très, très hâte de te retrouver la semaine prochaine pour passer à la pratique avec le write-in de vendredi. (De 20 h à 21 h sur le groupe Facebook. Pense à t’inscrire au préalable.)
D’ici là, je te retrouve demain pour le coaching de groupe mensuel. Tu trouveras toutes les informations utiles ci-dessous. (Clique sur le bouton jaune pour accéder au lien de la réunion.)