Quand on parle d’écriture créative, il est surtout question d’organisation, de se caler des créneaux de travail, d’astuces liées à la technique. Beaucoup moins de santé mentale et de la répercussion du quotidien sur l’acte d’écrire. (La plupart du temps, on n’a pas besoin d’aller mal pour écrire, ce n’est là qu’un mythe de plus sur une profession qui a été « obscurcie » au 19ème siècle – ambiance poètes maudits et compagnie.)
J’ai donc décidé d’arrêter trois habitudes pour écrire mes romans. Trois habitudes saines à l’origine, avant qu’elles prennent des airs d’injonctions.