Début 2023, j’ai mis en place ma toute nouvelle organisation hebdomadaire. D’abord pour finir d’écrire Margreet (mon premier roman écrit en entier après mon burn-out), puis pour retrouver un bon rythme d’écriture, mais toujours respectueux de mes envies, mes besoins et mes limites.
C’est toujours cette organisation que j’utilise aujourd’hui, après avoir longtemps fonctionné à la journée.
Une organisation hebdomadaire à la semaine, plutôt qu’à la journée
L’organisation à la journée, c’est pratique quand on suit des cours, quand on a des déplacements réguliers… Je travaille toujours de chez moi (c’est pour ça que j’ai un bureau), et hormis des rendez-vous médicaux que je préfère prendre quand tout le monde est au travail, je ne sors pas pendant mes propres heures de travail.
Mon organisation hebdomadaire est partie de ce constat : pourquoi me cantonner à des horaires spécifiques, alors que je n’en avais pas besoin ?
Vers une organisation qui me correspond
Mon organisation hebdomadaire, aujourd’hui, répond davantage à mes envies, mes besoins et mes limites. Je sais que je suis du matin, alors, l’écriture au-delà de midi, je peux vous garantir sans me tromper que je n’y arriverai pas.
J’ai aussi essayé le time blocking de l’extrême. Une vraie catastrophe. Absolument pas adapté pour moi. J’ai donc conservé l’aspect de base du time blocking (bloquer du temps sur une tâche) sans aller jusqu’à me préparer un emploi du temps à la minute près.
En résulte ceci : le matin, je travaille sur l’écriture avec mon premier jet en cours, les corrections en cours et le roman en préparation du moment pour, l’après-midi, travailler sur mes contenus avec ce blog, L’Écriturienne, je tourne et monte mes vidéos…
Une organisation, ça s’expérimente
Je reçois souvent des messages d’abonné·e·s pour me dire que je les impressionne par ma capacité à enchaîner les tâches tout au long de la journée. Mais j’ai expérimenté pour en arriver là. J’ai abandonné, parfois. J’ai cherché à m’améliorer et, le plus possible, à me détacher des outils de productivité quand j’ai compris que je pouvais les contourner. (J’ai parlé des espoirs infondés que l’on place en eux dans une vidéo dédiée aux petits et gros mensonges sur la productivité.)
Cette organisation devait absolument me ressembler : autrice du matin, mauvaise capacité à la créativité l’après-midi et plus bonne à rien le soir.
Une priorité hebdomadaire
Mon organisation, je l’articule aussi autour d’une priorité hebdomadaire. Enfin, deux parce que je triche : une pour l’écriture et une pour les corrections ou de la préparation.
Je pioche simplement dans mes deux priorités mensuelles, établies dans mon Bullet Journal, pour chaque mois de 2024-2025. (Par exemple, ce mois-ci, je prépare l’écriture de la seconde moitié de Nous ne reverrons jamais l’été et j’écris le tome 2 de Poppy Clemens.)
Une organisation hebdomadaire la plus simple possible
Mon organisation est très simple. La plus simple possible. Aujourd’hui, je n’utilise plus aucun outil de productivité. (Pas même Clockify, dont je me servais encore il y a peu.) Mon Bullet Journal et Notion me suffisent, le premier pour organiser mes semaines, la seconde pour suivre la création de mes contenus.
Je n’ai aucun secret. Je me connais juste assez bien pour optimiser les différents temps de ma journée. (Le matin pour écrire, par exemple.) Ça m’a pris du temps, et honnêtement, j’aurais aimé un coup de pouce, parfois. C’est pourquoi je vous propose des solutions qui ne sont pas toutes prêtes, des solutions adaptées à votre problème.
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