Le Camp NaNoWriMo est, pour moi, l’occasion de me lâcher dans l’écriture pendant un mois ; de me réfugier dans ma bulle créative et de suivre ce que les autres font. Peut-être y participez-vous ? Ou, peut-être, aimez-vous suivre les travaux des autres, découvrir leur(s) difficulté(s), leur(s) astuces ?
Le Camp NaNoWriMo du grand n’importe quoi
Le Camp NaNoWriMo est, pour beaucoup, l’occasion de se lâcher sur un ou plusieurs projets en profitant de l’émulation du moment.
J’aimerais profiter de mon premier bilan pour vous demander si tout se déroule comme vous l’aviez prévu. Parce que, pour moi, ce n’est clairement pas le cas !
Écrire sur un autre projet n’est pas une fatalité
L’idée du Camp NaNoWriMo est d’écrire un certain nombre de mots, fixé par l’auteur·rice, donc, de manière tout à fait compatible avec votre quotidien. Si votre inspiration va plutôt chercher du côté de votre roman fantastique, plutôt que de votre romance contemporaine, foncez ! (Non, cet exemple ne me concerne pas du tout, ce n’est même pas vrai, d’abord.)
On n’écrit pas tou·te·s à la même vitesse
Je rappelle que le ce défi d’écriture n’est pas une course, ni contre les autres ni contre vous-même. Considérez-le comme un moteur, un coup de pied aux fesses, une raison de vous mettre, chaque jour, à votre roman. À votre rythme, bien sûr. Toujours ! (En ce sens, les camps sont moins contraignants que le NaNoWriMo, puisque c’est vous qui choisissez le nombre de mots à atteindre.)
Pensez aussi à vous détendre ! Si vous souhaitez faire une pause de cinq minutes, c’est justement le temps de mon premier mini-vlog du Camp.
Pour aller plus loin et profiter pleinement de ce mois d’écriture
Je vous renvoie vers deux de mes articles et un épisode de mon podcast pour aller plus loin dans votre réflexion :
- 2 façons de tenir son objectif pour le Camp NaNo [Article]
- Réussir à écrire les jours de grande flemme [Article]
- Le syndrome de l’imposteur [Podcast]