J’AI LU THE ONE THING : POURQUOI VOUS DEVRIEZ FAIRE PAREIL

La productivité comme vous n’y avez jamais pensé. Fini le multitâche. (De la connerie.) Fini les ambitions qui n’en finissent pas. (Chacune son tour.) Fini la productivité telle que vous la connaissez et le rapport au travail tel qu’on nous l’inculque.

The one thing est la méthode qui vous permettra de réussir tout ce que vous entreprendrez. Comment ? En passant à l’essentiel, comme l’indique si bien une partie du titre français : Passez à l’essentiel !

The one thing en théorie

En théorie, The one thing s’apparente à une promesse. Ce genre de promesse qui finit aux oubliettes tant l’auteur ou l’autrice est à mille lieues de la réalité ou tant on ne sait par où commencer. Mais ici, il ne saurit être un point de départ plus clair : passer à l’essentiel. (Ce n’est pas dans le titre pour rien.)

The one thing a la bonne idée de remettre le multitâche à sa place, c’est-à-dire au fond de la poubelle à idées reçues sur la productivité. Car il n’y a rien de pire que de se lancer dans des tâches simultanées. Le cerveau est incapable de faire le tri entre ces différentes tâches et génère ce que Cal Newport appelle des « restes de l’attention » dans son livre Deep work. Là-dessus, Gary Keller est tout à fait d’accord et apporte même cette notion d’essentialisme qui change tout.

Dans la pratique

Concernant The one thing, vous prêchez une convertie, alors, ne me cherchez aucune objectivité dans cet article. (Mais c’est aussi ça, le développement personnel : chacun·e y trouve midi à sa porte.)

Ce livre n’a pas la prétention de vouloir vous faire changer de vie, seulement de vous aider à prendre conscience de son plein potentiel. Nous avons tendance à chercher ailleurs qui se trouve déjà sous notre nez. Toujours plus d’applications de time-tracking encombrent la mémoire de notre téléphone, toujours plus de vidéos qui popent, d’astuces que nous rêvons de maîtriser… Et si, finalement, tout ceci nous détournait de notre objectif véritable ?

Qu’avez-vous besoin de faire pour avancer ?

Vous avez votre objectif. (Un, c’est bien.) Vous avez votre deadline. (À laquelle vous avez mûrement réfléchi selon votre temps disponible et non votre temps fantasmé.) Maintenant, demandez-vous ce que vous avez besoin de faire pour atteindre votre objectif. Quelles étapes composeront votre progression vers cet objectif ? De combien de temps disposez-vous pour chacune de ces étapes, combien de fois par semaine ? Le temps est le ciment de votre progression. Pour cette raison, il est indispensable de ne penser qu’aux tâches essentielles, et une au coup.

Des tâches qui font la différence

Ces tâches doivent faire la différence par rapport à celles qui vous paraissent vraiment importantes.

Une liste de succès (équivalente à une To-Do List aux tâches soigneusement rayées) ne vaut rien si ces tâches n’ont pas une haute valeur ajoutée. Ne donnez pas d’importance à ce qui est secondaire et avancez pour de bon, plutôt que vous réfugier dans la satisfaction d’une To-Do List soigneusement complétée. Entretenez votre satisfaction sur le court terme, c’est bien, mais ne le faites pas n’importe comment.

Le temps est le ciment de votre progression

Avoir le temps d’écrire un roman, trouver le temps d’écrire un roman est un questionnement qui revient souvent. Et souvent, beaucoup ont l’impression que leur temps d’écriture empiète sur des tâches plus importantes du quotidien. (Parce que l’écriture n’est pas vraiment considérée comme une « vraie profession » et quitte à s’inventer des urgences.)

Avoir le temps d’écrire un roman n’est pourtant pas la vraie question. Il existe une multitude de réponses : se lever plus tôt pour écrire avant de partir au travail, revoir ses priorités, éviter les distractions… Des banalités, pour la plupart. Nous savons déjà tout ça.

Privilégier l’essentiel. Je vous l’ai dit : le temps est le ciment de votre progression. Pour ne plus le perdre et même en gagner dans l’écriture de votre roman, je vous invite à suivre ma formation dédiée. Elle est à – 50 % pour la rentrée, alors, ce serait dommage de louper l’occasion d’instaurer une organisation efficace et non culpabilisante.

Aude Réco

Je suis autrice dans les genres de l’imaginaire à destination des adultes et des jeunes adultes.

Je suis adepte de méli-mélo temporel, de mondes aux contrées mystérieuses et, surtout, de maisons hantées et d’histoires de fantômes.
J’aime tout ce qui touche au passé et à la mémoire des lieux, aux secrets de famille et vieilles malles poussiéreuses pleines de souvenirs.

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