Après un échec total en novembre 2021 (et un bon début de burn out sans que je le sache encore), je rempile cette année avec la ferme intention d’écrire mes 50 000 mots en un mois. Pour autant, je ne l’ai pas décidé sur un coup de tête, et ce sont plusieurs éléments qui m’ont convaincue.
D’abord, j’ai pu reprendre un rythme honnête d’écriture en septembre, puis octobre, et j’aimerais passer à la vitesse supérieure. Ce rythme m’a permis d’écrire essentiellement le matin, de bonne heure (entre 6 h et 8 h), voire à coups de lives co-working sur ma chaîne Twitch. (Lives qui reprennent dès demain, mercredi 3 octobre 2022, d’ailleurs.) J’ai bien veillé à ne pas négliger ma santé, cette fois : j’ai pris de vraies pauses déjeuner et je consacrais mes après-midis à tout ce qui n’est pas de l’écriture. (Gestion des réseaux sociaux, création des contenus, relecture/correction des manuscrits…)
Ensuite, j’ai bien réfléchi à ce que je voulais pour fin 2022 et 2023. (Au moins jusqu’à juin.) Mon planning éditorial pour l’autoédition est prêt. La liste des projets « autres » que j’aimerais lancer ces prochaines années est prête aussi. Je n’ai vraiment plus qu’à me consacrer à l’écriture en cette fin d’année, et le NaNoWriMo est le seul mois pendant lequel je peux y songer pleinement. (Décembre et son lot de préparatifs pour les fêtes de fin d’année a plutôt tendance à me mettre des bâtons dans les roues. En plus, je suis en vacances.)
Enfin, j’estime que c’est le bon moment pour me prouver que je peux atteindre ces 50 000 mots en un mois. Après un an à n’avancer qu’à pas de fourmi, je me sens capable de reprendre l’écriture à mieux qu’un rythme honnête. J’ai beaucoup trop de projets qui attendent, beaucoup trop de plaisir à les écrire… et un plan en béton armé qui ne me bousillera pas la santé et me permettra d’avancer sans négliger le reste.
Un épisode complet de mon podcast sortira aujourd’hui sur le sujet, à 18 heures, sur les plateformes de streaming habituelles.