En juillet, je vous partageais un premier point sur l’écriture de Nous ne reverrons jamais l’été, mon roman de fantasy steampunk. J’y écrivais devoir allonger le nombre de mots prévus (de 80000 à 150000) parce que mes personnages auraient besoin de rester plus longtemps à Ervicje, la capitale.
À l’heure actuelle, j’en suis à 40000 mots. (Je reprends l’écriture demain, là, c’est fin de vacances.) Pour les 10000 prochains mots, mes personnages entameront enfin leur voyage vers l’Arluuvie, cette région qui a disparu de la carte du jour au lendemain. J’ai profité de ces mots supplémentaires pour implanter un nouveau personnage qui me servira à poursuivre l’enquête dans la capitale. Pendant ce temps-là, les uns remonteront le fil de leur passé, tandis que les autres tenteront de résoudre les mystères qui planent sur le pays depuis la fin de la guerre.
Pour découvrir tout ceci, c’est sur Plume d’Argent. (Pré-publication en ligne du roman.)