J’ai enfin pu me mettre sérieusement à la relecture des huit premiers chapitres de ma fantasy steampunk. (Nous ne reverrons jamais l’été, que vous pouvez découvrir sur ce blog si jamais ce n’est pas encore fait.) Et il y a du travail !
D’abord, comme je le dis toujours, un premier jet n’a pas vocation à être parfait. C’est donc en toute logique que le mien ne l’était pas. (Enfin, mon bout de premier jet.) Ensuite, je partais sur une base de 80000 mots. Depuis le début, je partais sur une base de 80000 mots. Pendant un mois et demi (de façon discontinue), j’ai travaillé sur ce que je pensais être le premier quart du roman. En fait, non. Le manuscrit sera plus gros. J’ai des questions encore en suspens à la fin de la première partie et je pensais y répondre pendant que mes personnages feraient un bout de chemin. Finalement, ça ne collera pas. Il leur faudra donc rester un peu plus longtemps à Ervicje, capitale de mon monde enneigé. Une fois qu’ils auront répondu aux questions nécessaires pour la suite de leurs recherches, je pourrai entamer ce que j’appelle désormais la deuxième partie. (Sur trois.)
Pour découvrir Nous ne reverrons jamais l’été dès maintenant (en échange d’un retour), c’est sur Plume d’Argent.