Temps de lecture : 1 minute.
La semaine dernière, j’ai commencé à préparer mon intervention du 11 février à la médiathèque de ma commune. (Si vous êtes du coin – Aniche, dans le Nord, le Douaisis, le Valenciennois, venez !) Entre l’écriture des derniers mots de la première partie de Margreet, la relecture de la saison 1 d’Appartiens-moi et ma formation sur le copywriting, j’ai calé une petite heure pour lister les sujets que j’aimerais aborder.
Évidemment, je présenterai mon dernier roman paru, Le Tisseur d’ombres. Je ne sais pas encore si j’en lirai un extrait, mais je trouve l’idée bonne (à condition que je m’entraîne) pour proposer une première immersion dans mon univers.
J’y serai aussi pour parler de mon parcours et de mon métier d’autrice, des à-côtés qui composent mon quotidien (la promo sur les réseaux sociaux, la gestion de la boutique en ligne…) et des différentes façons de publier son livre. Je pense apporter un exemplaire d’Ocre rouge pour inviter les participant·e·s à établir une comparaison entre un livre paru au sein d’une maison d’édition et un autre autopublié. (Et ainsi les familiariser avec l’idée que publier dans une maison d’édition n’est pas un gage de qualité.)
J’en profiterai pour distribuer quelques marque-pages. À l’heure où je rédige ces lignes, je dois encore peaufiner la maquette avant d’envoyer tout ça à l’imprimeur.