J’ai longtemps pensé que je n’aurais jamais le temps de faire tout ce que je souhaite – écrire mes mini guides inclus. La faute à une éducation qui n’équilibrait pas la balance entre le nécessaire et le dispensable – le loisir, par exemple. Car l’écriture, au tout début, représentait un loisir avant de devenir mon métier. Des journées régies par des horaires, le réveil, les cours, très peu de sorties et, pour toute bouffée d’oxygène, deux heures d’écriture, chaque soir, après les devoirs.
C’est à la lumière de ma lampe de chevet que tout a vraiment commencé. J’écrivais mes romans sur un surplus de copies doubles de l’année précédente. Et comme je savais ne disposer que de ces deux heures pour m’immerger dans mon univers, j’y allais à fond.
Le secret, c’était que je bénéficiais de deux heures et que je consacrais ces deux heures à l’écriture. Exclusivement.
Un temps dédié à une tâche dédiée.
Mon mini guide pour écrire 10 000 mots par semaine sort à la fin du mois.