Courant juin, j’annonçais à mes bêta-lecteur·rice·s reprendre le travail sur La Dernière pièce dans ma tête au fond, à défaut de réussir à avancer sur mon roman de fantasy. Et je me suis sans doute un peu avancée. Non pas que je serai incapable de m’y tenir, mais ce sera plus compliqué que prévu. Plus long, aussi, puisque j’ai décidé, pour la première fois depuis des années, de me prendre une vraie pause cet été. (Mon objectif de boucler ce roman en septembre de cette année ne tombe cependant pas à l’eau.) Mais trêve de bavardage, et passons au vif du sujet.
J’ai commencé à écrire ce roman l’été dernier sur un coup de tête. Pas de plan, pas de découpage et aucune idée de ce qu’allaient donner les personnages. Tout partait d’une idée simple : une élève a disparu pendant la pause déjeuner, et cette disparition n’est pas sans évoquer celle d’une autre enfant, trente ans plus tôt. Dès lors se mirent en place, dans mon esprit, les rouages d’une histoire plus complexe que ce que j’avais prévu. Des personnages se sont greffés à ceux que j’avais déjà imaginés pour porter l’intrigue.
Concrètement, à ce stade, je relis la première moitié pour me réimprégner de l’atmosphère et reprendre l’envoi des chapitres à mes deux bêta-lecteur·rice·s. Après mes vacances (et non sans gribouiller quelques idées dans mon journal d’autrice au passage, j’en suis sûre), j’établirai un sérieux plan d’attaque dans l’optique de boucler l’écriture.
J’avais parlé de La Dernière pièce dans ma tête au fond dans ma dernière vidéo « Projets en cours » (ci-dessous), alors, n’hésitez pas à la visionner pour d’éventuelles informations que j’aurais oubliées ici.