La première semaine du défi BRIQUES s’est achevée hier, et il est temps du premier bilan. (Si vous voulez en savoir plus sur le défi et connaître la raison de ma participation, j’ai publié un article sur le sujet.) Mon objectif pour ce défi est d’écrire au moins 1000 mots par jour pendant un mois. (Jusqu’à la mi-mars.) Et un bon premier bilan n’en serait pas un sans causer un peu chiffres :
- Jour 1 : 1005 mots
- Jour 2 : 1005 mots
- Jour 3 : 1025 mots
- Jour 4 : 1329 mots
- Jour 5 : 542 mots
- Jour 6 : 500 mots
- Jour 7 : 1250 mots.
Le quota a diminué pendant deux jours (vendredi et samedi), mais j’ai quand même atteint 6656 sur les 7000 escomptés. (Ce n’est pas aussi catastrophique que je me l’imaginais avant d’écrire cet article.)
Ma vraie difficulté a été d’écrire chaque jour, même 500 mots. D’en faire ma priorité après avoir pris l’habitude de mettre de côté l’écriture au profit de contenus. (Créés pour Instagram, notamment, quand j’y avais encore un compte.) Fin 2020 et une bonne partie de l’année 2021 ont fonctionné de cette manière : des contenus d’abord pour promouvoir mes livres (entre autres), l’écriture ensuite. C’est la raison pour laquelle je me suis fixé l’équivalent de 1000 mots à écrire par jour en 2022. (Ça a été un échec en janvier, alors, le défi BRIQUES est plutôt bien tombé.)
L’autre difficulté est l’aménagement d’un créneau spécialement dédié à ces mots quotidiens, alors que le chien est en train de me chambouler sa propre routine quotidienne. (L’âge, tout ça.) Je dois adapter la mienne en fonction de ses nouveaux horaires de ceci ou cela, et on tâtonne encore un peu, tous les deux. Heureusement, j’utilise la technique de la carotte !