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J’aime beaucoup ce que devient Margreet.
Quand je l’ai imaginé courant 2021, je ne m’attendais pas à ce résultat. Je crois que le fantastique est le genre dans lequel je suis le plus à l’aise. (Non pas que je sois moins à l’aise dans le steampunk, la fantasy ou le pulp ; sinon, je ne serais pas allée jusqu’à la publication d’Ocre rouge, du Tisseur d’ombres ou des Sempiternels. J’ai commencé par ce genre, aussi, toujours intriguée par les histoires de fantômes, d’objets qui déplacent ; par les contes et légendes qui rejoignent la réalité.
Bref, j’aime beaucoup ce que devient Margreet. Je me suis vachement éloignée des histoires de fantômes depuis mes débuts avec Noces d’éternité. J’avais déjà commencé à explorer quelques pistes avec deux autres romans, loin des fantômes, justement, mais toujours avec du drame familial et des secrets de famille. (C’est une thématique dont je ne me lasse pas et qui se prête merveilleusement au genre fantastique.) Il y a du drame familial dans Margreet, des disparitions, des morts… À ce stade du roman (et parce que je rédige mes synopsis de travail au fil de l’écriture), je ne suis pas encore sûre et certaine de ce à quoi aboutiront ces drames. Il y aura des conséquences, forcément, et elles impacteront l’intrigue, en plus des personnages, mais pour le reste, c’est encore le grand suspense.