Aujourd’hui, on part sur une question qui peut paraître complexe, voire très vaste, mais pourtant tout le contraire si l’on se penche dessus deux secondes. Vous allez voir qu’avec ma courte liste de questions, vous y verrez vite plus clair parmi les innombrables outils et méthodes proposés pour écrire un roman :
- De quoi avez-vous besoin pour préparer l’écriture de votre roman ? De la documentation (livres, internet, documentaires…), un fichier Word pour rédiger votre synopsis de travail, éventuellement une liste des scènes à intégrer absolument (peut-être avec Notion, qui propose toutes sortes de templates)
- De quoi avez-vous besoin pour écrire votre roman ? Un fichier Word fait amplement l’affaire (ou un carnet/bloc-notes et un stylo)
- De quoi avez-vous besoin pour corriger votre roman ? Je ne saurais que trop vous conseiller d’investir dans le logiciel Antidote, sans hésiter à remettre en question les corrections qu’il vous propose.
Là où certain·e·s vous vanteront les mérites de logiciels tels que Scrivener, je préfère vous orienter vers la simplicité, surtout si vous débutez dans l’écriture ou si vous tâtonnez dans celle de votre roman. Un logiciel aussi compliqué que Scrivener (lequel nécessite de se former un minimum grâce à des tutoriels) ne vous aidera pas à écrire votre roman. À le préparer, pourquoi pas, mais penser que le logiciel facilite l’écriture, c’est se mettre le doigt dans l’œil. (Désolée de vous le dire.)
Outre le matériel que l’on surestime souvent dans l’écriture d’un roman, j’ai répertorié cinq critères sur lesquels vous pencher pour vous organiser tout au long de cette étape :
- Écriture régulière ou quotidienne
- Routine d’écriture ou pas
- Avec des objectifs à tenir ou en suivant votre flux créatif (cf. ma Bulle créative #11 pour en savoir plus)
- Dans un cadre prédéfini ou peu importe
- Seul·e ou avec d’autres auteur·ice·s.
Pour finir, voici la liste du matériel que moi, j’utilise au quotidien dans mon écriture :
- Mon Bullet Journal : un carnet Clairefontaine, format A5, 192 pages, papier blanc, 90 g, pointillé
- Mon carnet d’écriture : un carnet Clairefontaine, format B5, 192 pages, papier blanc, 90 g, ligné
- Les carnets dans lesquels j’écris mes romans : des cahiers souples Rhodia, format B5, 160 pages, papier blanc, 80 g, ligné.