C’est avec la routine de travail (et l’idée que l’on s’en fait, pas toujours réaliste) que j’ai abordé la troisième habitude qui vous empêche d’écrire un roman, la semaine dernière. Et ce n’est pas pour rien que j’en ai parlé avant celle d’aujourd’hui, puisqu’elles se suivent en général.
- Vous procrastinez.
La procrastination résulte d’un problème qui nous empêche de nous mettre au travail. S’en tenir au sempiternel « Reporter au lendemain ce qui peut être fait le jour même » est très réducteur. (Et cette définition se reporterait plutôt à la flemme, raison pour laquelle on croise souvent le raccourci procrastination = flemme.) Procrastiner n’est pas avoir une crise de flemmingite aiguë. Elle est le signe qu’un problème attend d’être résolu pour que vous puissiez enfin passer à autre chose. Identifiez votre problème, et vous ne procrastinerez plus. (Jusqu’à la prochaine fois, et ainsi de suite.)