Je poursuis le défi BRIQUES (avec plus de facilité que la première semaine), et un deuxième bilan s’impose. (Prenez le temps, vous aussi, de votre côté, de dresser un rapide bilan hebdomadaire pour identifier vos mauvaises habitudes d’une part et vous féliciter pour vos avancées d’autre part.) Comme pour le bilan de la première semaine, je commence avec le quota quotidien :
- Jour 8 : 1721 mots
- Jour 9 : 1026 mots
- Jour 10 : 250 mots
- Jour 11 : 1199 mots
- Jour 12 : 1000 mots
- Jour 13 : 750 mots
- Jour 14 : 875 mots.
J’ai tout de même « merdé » sur trois jours. Si j’additionne toutes les entrées, j’obtiens un total de 5946 mots. C’est moins que les 6656 mots de la semaine dernière, et, sincèrement, je n’ai aucune excuse. (Je suis en pleine réécriture d’un roman, en plus, l’exercice m’est facile.) J’ai cependant écrit chaque jour et pris le temps de me poser pour me consacrer à l’écriture. (Sauf le dixième jour avec ses 250 mots.) Par rapport à la première semaine, c’est donc une victoire. (Puisque j’avais du mal à écrire à ce moment-là.)
Le vrai problème, pour cette semaine (et je suis encore en plein dedans), est que je traverse une période d’intense réflexion. Si je m’écoutais, je ferais tout en même temps et toute la journée. Je suis dans une période d’intense créativité, mais sous forme de prise de notes, pas d’écriture « réelle ». Et j’ai tendance à pousser dans ces cas-là. (Je sais que certain·e·s certifient qu’il est inutile de prendre une pause dès lors que l’on est dans le bain, mais franchement, je ne recommande pas.)