Depuis mon annonce, fin juin, à mes bêta-lecteur·rice·s leur expliquant que je reprenais le travail des corrections sur la première moitié (environ) de La Dernière pièce dans ma tête au fond, j’ai étonnemment bien avancé.
Débuit juillet (ou fin juin, je ne sais plus), je me suis imposée des vacances. (J’en ai parlé dans mon article sur la désacralisation de l’écriture et, avant ça, dans la newsletter.) Impossible pour moi d’avancer dans ces conditions, entre des nuits presque blanches et des journées passées à me traîner. (Même si, à la vérité, je me traînais depuis novembre 2021, au moins.) Et – comme quoi, le repos fait des merveilles –, j’ai commencé à y voir plus clair au fil de ma relecture de la (presque) première moitié du roman.
À ce stade, j’en suis à 66 % de l’écriture, 24/24 chapitres corrigés en V2 et 20/24 chapitres corrigés en V3. Je pense entamer le grand plan final ce weekend pour finir d’écrire le roman en août.
Je vous laisse découvrir le bazar que met ce roman sur mon bureau. (Story postée le 13 juillet sur Instagram.)
À ce stade, j’ai pu commencer à répondre aux questions que læ lecteur·rice se posera. (Ainsi que certains personnages.) J’ai aussi listé ces questions dans le but de commencer le grand plan final dont je parlais plus haut. L’idée est de pouvoir envoyer le manuscrit aux maisons d’édition fin septembre. (Ou début octobre, selon mes bêta-lecteur·rice·s.) Pour ça, je dois impérativement le terminer en août et continuer à envoyer mes chapitres au fur et à mesure. (Je préfère écrire porte ouverte, comme on dit.) Dès que les deux phases de bêta-lecture seront achevées, je relirai le roman dans son intégralité en veillant à cocher toutes les cases relatives aux questions soulevées. (Et aux arcs narratifs ouverts.)
Présenté comme ça, le travail semble encore titanesque, mais j’ai l’esprit plus reposé et, par conséquent, je sais mieux que jamais où je vais. (Roman sans plan ni synopsis de travail, tout ça.)