Aujourd’hui, on va parler de synopsis de travail. Pas de structure ni de méthodes pour l’écrire, mais d’outils. Bref, aujourd’hui, j’espère vous faciliter la tâche pour la prochaine fois où vous devrez rédiger un synopsis de travail pour votre roman.
Les outils connectés
Pour cette partie, je m’en tiendrai essentiellement à une liste, puisque rien ne vaut d’éprouver par soi-même un outil pour s’en forger une opinion sincère.
Je vous ai déjà parlé plus longuement du premier outil (il n’y a pas longtemps, d’ailleurs), donc, le concernant, je vous renvoie à l’article dédié : il s’agit de l’application Fabrique à histoire, laquelle permet de déposer ses idées au fil des chapitres, puis de les intégrer au synopsis de travail dès que nécessaire.
Le deuxième outil est Notion. (Vous savez peut-être que je ne jure que par Notion depuis quelque temps.) Vous pouvez y créer à peu près n’importe quoi pour écrire votre synopsis de travail : tableaux, notes, plans (avec statuts, dates…), timelines… N’hésitez pas à explorer l’application sur votre smartphone et/ou votre ordinateur pour l’explorer en long, en large et en travers. (La version gratuite propose vraiment plein de choses !)
Enfin, le troisième outil est assez souvent employé, mais reste peu connu : le tableur. Il offre beaucoup de possibilités avec son système de tableau, ses couleurs… Vous pourrez y lister vos scènes importantes, aussi.
Les outils non connectés
C’est ici que je vous parle de papier et de stylo, de carnets et de surligneurs. (Le paradis des amateur·rice·s de papeterie et une raison d’en acheter toujours plus !)
La technique des post-it
Celle-ci est de loin ma préférée quand je dois jongler entre plusieurs trames narratives sur plusieurs époques. Elle me permet d’entremêler lesdites trames en fonction des personnages qu’elles impliquent. Je peux aussi déplacer facilement une scène (une scène par post-it, donc) dès que j’en ai besoin.
Cette technique est un peu (beaucoup) la même que celle présentée avec Notion, mais pour celleux qui, comme moi, préfèrent travailler sur papier.
Les feuillets repositionnables
C’est la technique pour laquelle j’ai fini par délaisser mes post-it. (Trop encombrants.) J’ai récemment acquis un petit carnet à spirales pour mes projets d’écriture. Petit pour pouvoir le trimballer facilement, mais aussi pour me permettre de tenir une sorte de fiche détaillée par scène d’un roman : personnages impliqués, contexte, lieu, sous-intrigue concernée…
L’avantage des feuillets repositionnables, c’est de pouvoir les déplacer à volonté. (Comme des post-it, sauf que là, tout reste dans le carnet.)
N’hésitez pas à chercher sur internet si aucune de ces méthodes ne vous parle
C’est volontairement que je n’ai pas présenté la méthode flocon, très, très connue. (Et aussi parce que vous pouvez récupérer ma méthode flocon revue et améliorée dans 3 mois pour écrire un roman. Même que vous pouvez vous le procurer directement sur ma librairie en ligne pour que sachiez que votre argent me parvient directement.)