Aujourd’hui, je voulais vous présenter mon Bullet Journal, son support, les raisons de mon choix et son contenu. C’est en lisant l’article d’Aemarielle sur son BuJo minimaliste que j’ai réalisé ne pas avoir parlé ni du support ni du choix de mon nouveau matériel. Ce sera maintenant chose faite.
Quel est le meilleur support pour son Bullet Journal ?
Comme Aemarielle, je dirai que le meilleur support pour votre Bullet Journal est celui qui vous correspond et que vous n’aurez pas envie de lâcher toutes les six semaines.
Lire aussi “Mon Bullet Journal minimaliste” chez Aemarielle.
Avant d’opter pour mon actuel matériel (et vous allez comprendre pourquoi « matériel » et pas « carnet » juste après), j’ai essayé plusieurs formats de carnets et plusieurs types : A5, filofax, sans pointillés, avec pointillés… Pour 2021, je me suis orientée vers un Traveler’s Notebook.
Mon choix s’est porté sur
- l’étroitesse des carnets : ils sont facilement transportables (et si fins !)
- l’indépendance de chaque carnet par rapport aux autres : avec ce Traveler’s Notebook, je peux intégrer quatre carnets et j’en utilise un par mois
- la praticité de l’ensemble : si je manque vraiment de place dans mon sac ou ma valise, je peux n’emporter que le carnet du mois en cours.
Le contenu de mon Bullet Journal
J’ai décidé de rassembler toutes les premières pages d’un Bullet Journal « classique » dans un seul carnet, lequel me suivra toute l’année dans le Traveler’s Notebook. Ce carnet contient
- un index
- une rétrospective 2020
- un planning annuel (ou future log)
- mes objectifs professionnels et personnels par trimestre
- mes bilans mensuels
- une master list par trimestre
- mes projets
- mes idées pour les contenus (blog, chaîne…)
- les livres lus
- ma liste d’envies pour les livres…
Au-delà du carnet principal
(Le carnet principal est, bien entendu, celui qui regroupe toutes les premières pages citées ci-dessus.)
Au-delà du carnet principal, j’utilise un carnet par mois.
Chaque carnet se compose
- d’une page de garde
- d’une double page (ou spread) pour le calendrier
- d’une page pour les objectifs professionnels et personnels
- d’une master list
- d’une double page pour les réseaux sociaux (groupe Facebook, Twitter et Instagram)
- d’une double page pour les contenus dédiés à Pinterest
- d’une double page pour les contenus (sous forme de deux calendriers)
- de mes traqueurs d’habitudes
- de mon traqueur d’émotions.
Organisation de mes semaines
J’articule mon planning hebdomadaire sur une double page qui contient
- le calendrier du mois (avec la semaine concernée surlignée)
- un encart pour chaque jour travaillé de la semaine (quatre jours, pas les weekends)
- un encart pour les réseaux sociaux, un autre pour les notes, un troisième pour le résumé de la story du lundi et un dernier pour le résumé de la story du vendredi.
Voir aussi “Haul Bullet Journal : août 2020“.
J’utilise aussi mon Bullet Journal comme journal d’autrice. J’y note mes réflexions liées à l’écriture, à mon rapport à elle, à mon organisation, à mes besoins, à mes limites… J’y fais parfois des collages et y recopie des citations, surtout quand j’ai besoin de me recentrer sur ma top priorité : moi-même.
Un outil multifonction
Je recours à mon Bullet Journal comme à un outil multifonction. Il est mon couteau suisse d’autrice et rassemble tout ce dont j’ai besoin, autant les éléments relatifs à mon métier que les personnels liés à mon épanouissement professionnel.
J’y fais régulièrement le point, m’exprime autant par les mots que par les images. Il me sert de base de données et de réflexion, de générateur d’idées et d’espace pour exprimer ma créativité.
L’organisation, oui, mais pas sans création !