Je poursuis cette nouvelle série de petits articles sur le désencombrement de ses projets d’écriture en trois étapes. La semaine dernière, je vous parlais de la première étape : faire le tri. Passons à la deuxième.
Ma deuxième étape pour désencombrer ses projets d’écriture : réduire la pression
Réduire la pression n’est pas un acte de désencombrement en soi, mais un résultat que l’on obtient dès lors qu’on choisit avec soin ses projets d’écriture. Choisir avec soin ses projets d’écriture, c’est écarter ceux qui ne nous emballent pas, ceux qui prendraient trop de temps, là, maintenant, à préparer, ceux pour lesquels on manque de recul… (Tout est dans la première partie de cette série d’articles.)
Réduire la pression, donc. Quand on prend le temps de sélectionner ses projets, on se projette déjà un peu dans le travail qu’ils vont nous demander. C’est être conscient·e de la situation. Et être conscient·e de la situation, c’est s’épargner un cinquantième projet, alors que les autres balbutient encore ou qu’ils attendent qu’on les corrige, qu’on les envoie à des maisons d’édition…
Pourquoi vous imposer ce cinquantième projet, alors que d’autres (tout aussi formidables, j’en suis sûre) attendent que vous vous en occupiez ? Par attirance pour la nouveauté ? Si c’est la nouveauté qui vous attire, quelques pistes à explorer :
- Moins de réseaux sociaux : leur instantanéité permanente réduit notre patience
- Plus de travail en profondeur : il pourra accroître votre concentration et relancer votre motivation parce que vous avancerez.
Écouter ou réécouter “Un max de concentration pour écrire un roman !” sur YouTube ou votre appli de podcasts habituelle.