Que vous vous demandiez ou pas ce qu’est cultiver l’optimisme dans son écriture et ce que ça implique, je suis certaine que mon épisode pourra vous donner quelques astuces, quelques pistes pour vous hisser au top de ton optimisme… sans tomber dans l’effet inverse.
Créactivité, l’émission des auteur·rice·s qui se posent des questions. Imaginée pour les créateur·rice·s, elle s’intéresse plus à l’humain et moins à la technique.
Cultiver l’optimisme, mais pas à l’excès
Cultiver l’optimisme a pour but de développer cet état d’esprit qui consiste à considérer de préférence le bon côté des choses, à essayer d’en tirer profit, d’une manière ou d’une autre. (Mais toujours sans forcer.)
Cultiver l’optimisme, en général, pas seulement sous le prisme de l’écriture créative, c’est se rattacher au positif tout en comprenant combien il nous fait du bien, combien penser positivement nous rassure ou nous calme. C’est cette quiétude que nous cherchons dans l’acte d’écriture, souvent sans en avoir conscience
Les bienfaits de l’optimisme
Un optimisme bien dosé permet de mieux gérer son stress, un meilleur contrôle de soi-même et de ses choix et décisions, d’entretenir une bonne estime de soi. Il favorise une sérénité et une confiance naturelles, la réussite et rend plus actif·ve. Je ne vous demande pas, je ne vous dis pas de positiver en toute circonstance, juste chaque fois que ceci est possible, sans vous fourvoyer sur les évènements ou les personnes qui t’entourent.
Des astuces pour cultiver l’optimisme
Cultiver l’optimisme, c’est cultiver le soi.
J’aimerais vous parler de cette idée reçue selon laquelle pour écrire, pour finir d’écrire un roman, il convient de faire des sacrifices. Rentabiliser votre temps, oui. Sacrifier votre vie de famille, votre vie sociale, vos loisirs ou votre sommeil, non. Écrire ne nécessite aucun sacrifice, uniquement des concessions.
Moi, j’ai une astuce imparable pour cultiver l’optimisme, c’est la gratitude. Contrairement à ce que vous pourriez penser, je n’écris pas une ligne de gratitude par jour, uniquement quand j’en éprouve le besoin. D’ailleurs, il ne s’agit pas forcément d’écrire, puisque je peux aussi gribouiller un petit doodle. C’est simple et rapide. Pendant quelques minutes, vous éprouvez une reconnaissance.
Vous souhaitez apprendre à cultiver l’optimisme ?
Il est inutile de se payer un voyage au bout du monde pour se remettre sur la bonne voie, juste de se consacrer à ses petits bonheurs quotidiens et à leur donner plus d’importance que ce que l’on a l’habitude de faire. L’épisode 19 du podcast fait justement état de l’entretien de ces petits bonheurs :
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