On continue notre bonhomme de chemin pour une écriture plus tranquille et moins stressée, moins dans la comparaison et le reproche.
Aujourd’hui, j’ai choisi de vous parler des repères d’écriture, suite logique (pour moi, en tout cas) à l’apprentissage de soi pour encadrer son écriture.
La semaine dernière, on a vu qu’il existe une différence entre être et faire (ce que vous faites en écriture ne définit pas exclusivement qui vous êtes) et que vous pouvez vous orienter vers une zone de confort non limitante si l’envie vous en prend. C’est tout naturellement que, aujourd’hui, j’aborde l’art de créer repères d’écriture, ces petites habitudes qui font que l’on se sent prêt·e à écrire.
Créactivité, l’émission des auteur·rice·s qui se posent des questions. Imaginée pour les créateur·rice·s, elle s’intéresse plus à l’humain et moins à la technique.
En quoi créer ses repères d’écriture rend prêt·e à écrire ?
Qu’est-ce qui vous rend prêt·e à écrire ? Qu’est-ce qui fait que, à un moment plus qu’un autre, vous vous lancez dans votre session d’écriture ? En gros, de quoi avez-vous besoin pour écrire ? (Ça reprend l’épisode précédent, quand je vous disais de vous concentrer un peu plus sur ce que vous voulez et ce dont votre écriture a besoin. Oui, tout est lié.)
Caser ses repères d’écriture
Où caser, dans votre journée, dans votre semaine, dans votre weekend (peu importe) vos repères d’écriture sans qu’ils soient troublés par votre quotidien, votre vie de famille, votre conjoint·e, vos colocataires… ?
C’est là que je vous invite à faire un exercice très simple : lister tous les petits moments de la journée où vous êtes tranquille. Ceux où vous êtes vraiment tranquille, donc, on exclut la pause déjeuner sur le pouce pour tenter d’écrire vainement trois lignes.
Comment créer ses repères d’écriture ?
Faites en fonction de vos besoins. Choisissez-vous un endroit tranquille ou animé selon ce que vous préférez. Lancez une playlist ou réfugiez-vous dans le silence. Oui, réfugiez-vous ; n’oubliez pas que l’on parle de votre cocon d’écriture, là, celui que j’évoquais à la fin de l’épisode précédent avec la zone de confort non limitante. Au fond, c’est ça, écrire : décider de quel risque on prend et de quand on compte le prendre.
Si créer ses repères d’écriture est un sujet qui vous intéresse, je le développe dans l’épisode 27 du podcast :
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