Ma nouvelle façon d'écrire un roman ?

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Au moment où j’écris ces lignes (fin novembre 2022), j’en suis à moins de 1000 mots des 40 000 mots sur Margreet. (Avec lesquels j’ai le sentiment d’entrer dans une phase II, mais j’y reviendrai dans une future Bulle créative.)

Je travaille surtout par flux autour de ce roman. (J’en avais parlé sur Twitch, lors d’un live co-working. Oui, je parle beaucoup sur Twitch.)

Je sais qu’après ce cap des 40 000 mots, je ferai une pause dans l’écriture parce que 1) j’ai besoin d’un plan pour écrire la suite, et 2) j’écris donc par flux. (C’est-à-dire par vagues, par « moments ».)

Je n’ai jamais travaillé ainsi. En général, je rencontre un blocage vers 30 000 – 35 000 mots et je laisse décanter. (Ça peut durer plusieurs mois.) Surtout, je travaille par tiers de roman. (Celleux qui ont lu 3 mois pour écrire un roman le savent, puisque j’y décortique mon processus d’écriture.)

Cette nouvelle manière de travailler est peut-être le résultat de mon burn out. (J’ai le sentiment que mon projet d’été super top secret emprunte le même chemin que Margreet.) J’ai peut-être tiré les conclusions qui s’imposaient, à savoir apprendre à ralentir quand (et dès que !) c’est nécessaire.