Juin aurait presque un goût de septembre, cette année. Un goût de renouveau.
Depuis que j’ai renoncé à proposer mes formations et mon coaching de groupe (je sais, je dois encore revoir le site), j’ai l’impression d’avoir le temps de faire un million de trucs… comme écrire. (C’était le but de la manœuvre, me direz-vous. Ou ne me le direz-vous pas.)
Certaines choses se concrétisent, comme vous avez pu le lire dans mon bilan de mai. D’autres sont en bonne voie. D’autres, encore, se développent tranquillement. J’ai aussi repris sérieusement mon journal d’autrice pour faire le point sur tout ça.
À côté de ça, je m’interroge encore sur pas mal de choses, d’habitudes que j’ai dans mon métier d’autrice et dans mon quotidien. C’est dans ma nature de toujours me poser dix mille questions pour améliorer qui je suis, comment je vis et ce que je transmets dans mon écriture.
Je travaille sur mon écriture en profondeur par tranches de vingt minutes et note tout dans mon carnet d’écriture : temps de travail, nombre de mots écrits, ambiance (musique, écriture en binôme, en groupe…), météo…
Je m’interroge sur ma place sur Twitter. Est-ce que j’y apporte vraiment quelque chose ? Au vu du nombre de mes abonné·e·s et celui des likes et retweets, puis-je dire que mon contenu les intéresse ; puis-je seulement dire qu’iels voient le contenu que je poste ?
Enfin, je reprends les rennes de mon blog comme d’un carnet d’expériences et de processus créatif ouvert à tou·te·s. (Ce qu’il était censé être à la base.) À ce titre, je publie un article (long, court, une vidéo…) chaque jour et me détache un peu des réseaux sociaux.