En avril et mai, j’ai mis en place cinq semaines, cinq étapes pour replacer l’écriture au centre de mes priorités : alimentation, bien-être, environnement IRL ou en ligne… Je vous explique tout.
Hygiène de vie
Ce que j’appelle « hygiène de vie » implique deux branches : l’hygiène alimentaire et l’activité physique.
Avant toute chose, j’avais besoin de retrouver un rapport sain avec mon alimentation, diminuer ma consommation de sucre et m’en tenir à mes trois repas par jour.
Après avoir réappris à manger (parce que oui, j’en étais là), j’ai pu passer à la reprise d’une activité physique régulière. (Trois fois par semaine pour commencer.) J’ai pratiqué une séance de yoga, une séance de vélo d’appartement et une dernière de cardio.
Une fois que j’ai retrouvé une alimentation qui me plaît, ainsi qu’une activité physique régulière (toujours sans pression, bien sûr), j’ai pu m’attaquer au reste de mon hygiène de vie, surtout à un aspect que je négligeais ces derniers temps : mes matins douceur. (Ce que certain·e·s appelleraient Morning routine, mais sans les injonctions à la productivité qui vont souvent avec le concept.)
Hygiène de mon intérieur et hygiène mentale
Comme il m’est impossible de travailler sur mon hygiène mentale avec le recul nécessaire si la maison ressemble à un chantier, j’aborderai ces deux aspects plus ou moins conjointement.
Hygiène de mon intérieur
Pour la quatrième semaine, mon objectif était de me remettre sérieusement à l’hygiène de mon intérieur. Oui, je parle bien des tâches ménagères. (Que j’appelle soin de mon intérieur pour rendre le truc un peu plus cool. Surtout, dans « soin de mon intérieur », moi, j’entends « soin », donc, tout de suite, ça me renvoie une image positive.) C’est cette hygiène de mon intérieur qui m’a permis d’aborder sereinement la dernière semaine : mon hygiène mentale.
Mon hygiène mentale
La dernière semaine concerne les réseaux sociaux, notamment. Pour eux, j’avais déjà effectué un tri en trois étapes. La première : supprimer mon compte Facebook. La deuxième : me désabonner d’un certain nombre de comptes sur Instagram. La troisième : me désabonner de presque toutes les newsletters que je suivais jusqu’à n’en garder que deux. J’avais aussi préparé le terrain en passant deux jours sans réseaux sociaux, emails ni YouTube, début mars.
Cinq semaines : trop long ?
Cinq semaines, ça peut paraître long, mais on se rend vite compte que non, que l’on aura besoin de chacune de ces semaines au grand complet pour en venir à bout. (À ce moment-là, c’est moi qui étais à bout.) On ne change pas si aisément de mauvaises habitudes, surtout lorsqu’elles donnent l’impression de nous réconforter. (La seconde moitié de mars a été si chaotique…) Évidemment, n’hésitez pas à consulter un·e professionnel·le de la santé si vous rencontrez des problèmes plus importants d’alimentation, de rapport à vous-même, à votre environnement…
Pour plus de détails sur mon parcours durant ces cinq semaines, je vous laisse avec la vidéo dédiée.
Voir ou revoir “5 semaines pour replacer l’écriture au centre de mes priorités”.