Je le disais dans l’épisode précédent : la précrastination n’est pas la seule raison pour laquelle on accomplit une tâche tout de suite. Ce n’est donc pas forcément pour s’en débarrasser que l’on s’en occupe dans l’immédiat ; parfois (souvent ?), c’est parce qu’on cède au syndrome de l’objet brillant.
Créactivité, l’émission des auteur·rice·s qui se posent des questions. Imaginée pour les créateur·rice·s, elle s’intéresse plus à l’humain et moins à la technique.
Qu’est-ce que le syndrome de l’objet brillant ?
Le syndrome de l’objet brillant, c’est quand on court après cinquante objectifs à la fois, quand on se laisse attirer par les dernières nouveautés, par une toute nouvelle idée (ici, de roman, par exemple), bref, quand on s’éparpille. Et s’éparpiller, on l’a vu la semaine dernière, c’est épuisant.
Pourquoi ce syndrome de l’objet brillant ?
Le syndrome de l’objet brillant, c’est un gros n’importe quoi, une attirance que l’on a pour la nouveauté (tout nouveau, tout beau !) et qui fait que l’on s’éparpille, que l’on teste mille et une stratégies sans en tirer d’enseignement ; que l’on suit une énième formation qui ne nous apportera rien parce qu’on va vite vite s’en lasser ; que l’on achète un logiciel de plus pour écrire, alors que, au fond, on sait qu’il n’y a rien de tel que le bon vieux Word… (Bon, sur ce dernier point, je pense surtout à moi ; les logiciels d’écriture, c’est pas mon truc.)
Une réaction adaptée
Quand on est sujet·te au syndrome de l’objet brillant, il n’y a pas trente-six solutions pour s’en débarrasser : il faut avoir une réaction adaptée.
Je vous donne toutes mes astuces pour comprendre, puis éradiquer votre syndrome de l’objet brillant dans l’épisode 32 du podcast :
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